5 mai 2012 à 14:56
Pratiquant du mois.
J'ai commencé le Qwan Ki Do durant l'été 2011.
A cette époque, je rentrais tout juste du Québec, et je cherchais à faire un sport pour me défouler et je déplorais le fait de trouver des activités qui calmaient mon corps, mais pas mon esprit.
C'est en parlant de ce problème avec Thibault F, que celui ci me conseilla de l'accompagner à un entrainement de Qwan Ki Do, me garantissant que cela produirait les effets recherchés.
Le premier cours fut prometteur, les autres confirmèrent les promesses tenues par ce dernier.
Certaines personnes extérieures au Dojo, voient dans la rigueur des entrainements une certaine forme de violence qu'ils ont du mal à comprendre. Mais ils ignorent que la violence ne se trouve pas dans un art martial quel qui soit, mais dans l'utilisation que le pratiquant en a!
Car il faut savoir que l'on entre pas dans un Dojo comme dans une salle de sport. On entre d'abord dans un univers qui agit sur le pratiquant comme un filtre. C'est le paradoxe de cet art martial, qui apporte beaucoup en enlevant énormément. A mon sens, c'est la que se trouve la substantique moelle du Qwan Ki Do, car en sortant du Dojo le pratiquant retrouve sa vie normale mais son esprit est rincé des tracas de la vie courante. Les problèmes qu'il rencontre au quotidien sont alors vus à leurs juste appréciations car ils ne sont plus contaminés par le stress.
Je conseille donc à toute personne qui souffre du stress de la vie courante à venir s'entrainer avec nous, les effets ne peuvent être que positif.
Rémy C
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